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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 10:19

C’est l’automne et l’été vous manque ? Vous rêvez d’un cabriolet ? L'automne est la période rêvée pour acheter un cabriolet : en effet, plus il fait chaud, mieux un cabriolet se vend. Donc, et c’est là tout l’intérêt, dès le retour des mauvais jours, les prix descendent (comment convaincre quelqu’un d’acheter une découvrable quand il fait gris et qu’une pluie hivernale vous glace les os ?). 

Donc, vous voulez un cabriolet. Mais vous n’avez pas envie de vous déplacer dans le même coupé-cabriolet insipide que tout le monde ? Félicitation, voilà une excellente résolution. Comme Advam ne peut que cautionner ceci, voici nos cabriolets préférés à prix abordables. Cette première sélection ne comporte que des véhicules anciens, une deuxième partie vous présentera des véhicules plus modernes (aux tarifs encore plus attractifs !). 

Les véhicules anciens nécessitent souvent des connaissances techniques minimum, voir plus, les standards de fabrication de l’époque n’étant pas ceux d’aujourd’hui. Advam vous recommande de vous renseigner auprès des clubs dédiés aux marques et modèles ci-dessous pour vous aider dans votre achat (ou simplement vous renseigner !).

 

Lotus Elan (à partir de 20.000€)

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La première Lotus à frôler les 10.000 exemplaires, elle se caractérise par son poids très contenu (la carrosserie est en plastique) garant d’une sportivité exacerbée.

Moyennant quelques améliorations courantes (refroidissement amélioré notamment) elle fera mentir la réputation de fragilité des Lotus.

 


MG B (à partir de 10.000€)

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L’anglaise est la voiture idéale pour un collectionneur débutant : robuste et polyvalente. De plus les réparateurs spécialisés sont assez nombreux pour rassurer l’amateur.

 


Alfa Duetto (à partir de 10.000€)

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Ligne magnifique signée PininFarina et moteur séduisant : la vraie dolce vita, c’est elle ! 

 


Triumph tr4 (à partir de 20.000€)

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La ligne est typique des cabriolets anglais des 60’s. Cette Triumph est une invitation à flâner coude à la portière sur une petite route de campagne.

 


Triumph Spitfire (à partir de 9.000€)

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Plus moderne que la Tr4, la Spitfire permet d’accéder au mythe du cabriolet anglais des 60’s pour un prix inférieur à celui d’une 207 basique et sous-équipée, tentant, non ?

 


Fiat 124 spider (à partir de 8.000€)

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Produite pendant une vingtaine d’années, cette petite Fiat dispose d’un moteur onctueux qui n’a pas à rougir de ces performances.

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 13:20

Les amoureux des belles carrosseries connaissent et admirent les ferrari 250GT SWB (les fameuses 250 châssis court qui dominèrent le tour de France dans les années 60) et 250 GTO, mais seuls les plus connaisseurs apprécient l’une de leurs descendantes directes : la Ferrari 275.                   

La 275 répond à une demande précise des amateurs de l’époque, qui ne connaissaient pas encore les limitations de vitesses : rouler vite mais en préservant quand même un minimum de confort, au contraire des 250 qu'elles remplacent, certes rapides mais peu adaptées au longs trajets.

La 275  fut le premier grand succès commercial d’Enzo Ferrari avec près d'un millier d'exemplaires produits entre 1964 et 1968. 

Lors de sa présentation le public put admirer deux carrosseries basées sur le meme chassis, répondant au pseudonyme de 275 : le coupé et le spider, respectivement dénommés 275GTB et 275GTS. Leurs     styles sont fondamentalement différents ; alors que le coupé inaugure un design plus aerodynamique que les 250, le cabriolet, lui, fait preuve d’un classisisme certain.


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275 GTB (à gauche) et 275 GTS   


Le moteur est un douze cylindres positionné sous le capot avant, comme il se doit pour Enzo Ferrari (il rechignera longtemps avant de positionner le moteur derrière le conducteur, d’ailleurs, la première « Ferrari » de route à en profiter ne se nommera pas Ferrari mais Dino, mais ceci est une autre histoire). Ce moteur est comme souvent pour la marque au cheval cabré, un véritable monument ; dérivant de celui de la 250 il délivre 280Ch et 255Nm de couple pour emmener une voiture de 1,1 tonne seulement (le poids d'une Renault Clio actuelle !). Les performances de l’italienne sont donc sensationnelles pour l’époque et encore impressionantes aujourd’hui, jugez plutôt : à peine 7s pour passer de 0 à 100km/h et près de 240km/h en vitesse de pointe ! ces chiffres ne vous parlent pas ? Et bien sachez qu’ils sont à la hauteur de ceux d’une BMW Z3 3.0, ce qui n’est pas rien !

Trêve de discussion, place aux photos :

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